Il y a des amitiés qui traversent les années sans jamais perdre leur fil. Bertrand Dicale fait partie de ces présences constantes, précieuses, qu’on ne range pas dans une case.
Journaliste, écrivain, passeur. Son travail m’impressionne depuis toujours : cette façon unique qu’il a de lier la mémoire, la musique et l’histoire avec rigueur, poésie et lucidité.
Le 16 octobre prochain, à la Librairie de Paris, il présentera son nouvel essai : Musiques nées de l’esclavage.
Un livre essentiel.
Parce qu’il parle de nous. De nos héritages, de nos silences, de nos rythmes.
Parce qu’il explore comment, à travers le séga, la biguine, le gwoka, le bèlè, le zouk, la mazurka, se transmettent encore les cicatrices et les lumières de l’histoire.
Bertrand n’écrit pas seulement sur la musique : il écrit depuis elle. Il écoute les archives du monde, les mémoires enfouies dans les tambours, les respirations, les chants, et il les relie avec une précision d’orfèvre.
Lire Bertrand Dicale, c’est entendre le battement du temps.
Alors bien sûr, j’y serai.
Et ce sera aussi l’occasion de se retrouver, d’écouter, de dialoguer, parce que la mémoire, quand elle se partage, devient vivante.

Rencontre & signature avec Bertrand Dicale
Librairie de Paris - 7, place de Clichy, Paris 17e Jeudi 16 octobre
19h
Entrée libre
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